FAUX - À la fin de ses études au Séminaire de Québec en 1804, Louis-Joseph Papineau étudie le droit auprès de son cousin Denis-Benjamin Viger. Il est reçu avocat en 1810, un an après avoir été élu député du comté de Kent pour le Parti canadien.
À la fin de ses études au Séminaire de Québec en 1804, Louis-Joseph Papineau étudie le droit auprès de son cousin Denis-Benjamin Viger. Il est reçu avocat en 1810, un an après avoir été élu député du comté de Kent pour le Parti canadien.
FAUX - Victoria monte sur le trône en 1837 à l’âge de 17 ans. Elle succède ainsi à son oncle Guillaume IV, mort la même année, et règne jusqu’à son propre décès en 1901. Le pont qui porte son nom et qui relie la Rive-Sud à Montréal est inauguré en 1860 en présence de son fils Edouard VII, le prince de Galles.
Victoria monte sur le trône en 1837 à l’âge de 17 ans. Elle succède ainsi à son oncle Guillaume IV, mort la même année, et règne jusqu’à son propre décès en 1901. Le pont qui porte son nom et qui relie la Rive-Sud à Montréal est inauguré en 1860 en présence de son fils Edouard VII, le prince de Galles.
FAUX - En effet, la demande de rendre électif le Conseil législatif, c’est-à-dire que ses membres soient élus au suffrage populaire, est le sujet de 31 des 92 Résolutions. Ce qui en fait l’une des principales demandes de Louis-Joseph Papineau et du Parti patriote, qui souhaitent que les lois de la colonie soient dorénavant votées et rédigées par des personnes élues par le peuple, et non plus nommées par le gouverneur. En d’autres termes, on demande la mise en place de la démocratie !
En effet, la demande de rendre électif le Conseil législatif, c’est-à-dire que ses membres soient élus au suffrage populaire, est le sujet de 31 des 92 Résolutions. Ce qui en fait l’une des principales demandes de Louis-Joseph Papineau et du Parti patriote, qui souhaitent que les lois de la colonie soient dorénavant votées et rédigées par des personnes élues par le peuple, et non plus nommées par le gouverneur. En d’autres termes, on demande la mise en place de la démocratie !
FAUX - La seule victoire qu’ont remporté les Patriotes contre l’armée britannique est celle de Saint-Denis, le 23 novembre 1837. Menés par leur chef Wolfred Nelson, les Patriotes de Saint-Denis ont repoussé les soldats anglais après près de 8 heures de combat. Les réjouissances de cette victoire sont de courte durée. Les troupes sont de retour au village le 2 décembre 1837, alors qu’une soixantaine de maisons sont détruites en guise de représailles.
La seule victoire qu’ont remporté les Patriotes contre l’armée britannique est celle de Saint-Denis, le 23 novembre 1837. Menés par leur chef Wolfred Nelson, les Patriotes de Saint-Denis ont repoussé les soldats anglais après près de 8 heures de combat. Les réjouissances de cette victoire sont de courte durée. Les troupes sont de retour au village le 2 décembre 1837, alors qu’une soixantaine de maisons sont détruites en guise de représailles.
FAUX - Sur les 99 condamnés à mort, douze Patriotes montent sur l’échafaud en décembre 1838, janvier 1839 et février 1839, à la prison du Pied-du-Courant à Montréal. Les peines des autres condamnés seront commuées en diverses autres châtiments : exils, bannissements et emprisonnements.
Sur les 99 condamnés à mort, douze Patriotes montent sur l’échafaud en décembre 1838, janvier 1839 et février 1839, à la prison du Pied-du-Courant à Montréal. Les peines des autres condamnés seront commuées en diverses autres châtiments : exils, bannissements et emprisonnements.
FAUX - Inspirée de la Déclaration d’indépendance étatsunienne, la Déclaration d’indépendance de la République du Bas-Canada a été rédigée par Robert Nelson, le frère de Wolfred, qui en a fait une première lecture le 28 février 1838 à Napierville. À cette occasion, Robert Nelson s’autoproclamait premier Président de la République du Bas-Canada!
Inspirée de la Déclaration d’indépendance étatsunienne, la Déclaration d’indépendance de la République du Bas-Canada a été rédigée par Robert Nelson, le frère de Wolfred, qui en a fait une première lecture le 28 février 1838 à Napierville. À cette occasion, Robert Nelson s’autoproclamait premier Président de la République du Bas-Canada!
FAUX - Louis-Joseph Papineau a vécu un double exil. Un premier l’a conduit après la bataille de Saint-Denis le 23 novembre 1837 aux États-Unis où il tente de chercher l’appui du Président étatsunien Van Buren. Puis il se rend à Paris, en France, afin de convaincre l’élite d’appuyer les revendications et les actions du mouvement patriote.
Louis-Joseph Papineau a vécu un double exil. Un premier l’a conduit après la bataille de Saint-Denis le 23 novembre 1837 aux États-Unis où il tente de chercher l’appui du Président étatsunien Van Buren. Puis il se rend à Paris, en France, afin de convaincre l’élite d’appuyer les revendications et les actions du mouvement patriote.
FAUX - En effet, les Patriotes de 1837 et de 1838 proviennent de différents milieux, et pratiquement tous les métiers pratiqués à cette époque sont représentés. La majorité était des agriculteurs, mais on retrouve également des médecins, des forgerons, des avocats, des instituteurs, des politiciens…
En effet, les Patriotes de 1837 et de 1838 proviennent de différents milieux, et pratiquement tous les métiers pratiqués à cette époque sont représentés. La majorité était des agriculteurs, mais on retrouve également des médecins, des forgerons, des avocats, des instituteurs, des politiciens…
FAUX - Ces trois journaux publiés à l’époque des Patriotes soutiennent tous la cause des Patriotes. En 1837, la presse est florissante : de nombreux journaux sont publiés, en français et en Anglais. La Minerve (1826-1899) est fondé à Montréal par Augustin-Norbert Morin puis est dirigé par Ludger Duvernay. L’Écho du Pays (1833-1836) est publié à Saint-Charles-sur-Richelieu, autrefois nommé « village Debartchz », par le seigneur Pierre-Dominique Debartchz. The Vindicator (1828-1837), journal également montréalais, est fondé par l’Irlandais Daniel Tracey.
Ces trois journaux publiés à l’époque des Patriotes soutiennent tous la cause des Patriotes. En 1837, la presse est florissante : de nombreux journaux sont publiés, en français et en Anglais. La Minerve (1826-1899) est fondé à Montréal par Augustin-Norbert Morin puis est dirigé par Ludger Duvernay. L’Écho du Pays (1833-1836) est publié à Saint-Charles-sur-Richelieu, autrefois nommé « village Debartchz », par le seigneur Pierre-Dominique Debartchz. The Vindicator (1828-1837), journal également montréalais, est fondé par l’Irlandais Daniel Tracey.
FAUX - Le drapeau patriote, appelé également le Tricolore canadien, est composé de trois bandes horizontales verte, blanche et rouge. Selon plusieurs historiens, ces trois couleurs représenteraient les trois principaux peuples qui ont formé le mouvement patriote en 1837 et en 1838 : le vert pour les Irlandais (pensons à Edmund Bailey O’Callaghan et à Daniel Tracey), le blanc pour les Canadiens (Le terme Canadien réfère aux enfants et petits-enfants nés au Bas-Canada de parents Français. Le terme Canadien-français n’existe pas en 1837) et le rouge pour les Anglais (pensons aux frères Wolfred et Robert Nelson).
La version avec le bonhomme et l’étoile est apparue vers 1970.
Le drapeau bleu-blanc-rouge est le drapeau français.
Le fleurdelisé avec le Sacré-Cœur au centre est également appelé le Carillon. Il fut créé vers 1903 à Saint-Jude et est considéré par plusieurs comme le premier drapeau québécois.
Le drapeau patriote, appelé également le Tricolore canadien, est composé de trois bandes horizontales verte, blanche et rouge. Selon plusieurs historiens, ces trois couleurs représenteraient les trois principaux peuples qui ont formé le mouvement patriote en 1837 et en 1838 : le vert pour les Irlandais (pensons à Edmund Bailey O’Callaghan et à Daniel Tracey), le blanc pour les Canadiens (Le terme Canadien réfère aux enfants et petits-enfants nés au Bas-Canada de parents Français. Le terme Canadien-français n’existe pas en 1837) et le rouge pour les Anglais (pensons aux frères Wolfred et Robert Nelson).
La version avec le bonhomme et l’étoile est apparue vers 1970.
Le drapeau bleu-blanc-rouge est le drapeau français.
Le fleurdelisé avec le Sacré-Cœur au centre est également appelé le Carillon. Il fut créé vers 1903 à Saint-Jude et est considéré par plusieurs comme le premier drapeau québécois.